Michael van Orsouw01.05.2025La reine Victoria fut en son temps la femme la plus puissante du monde. En 1868, elle vint se reposer en Suisse et réalisa de nombreux dessins et peintures de paysages, dont beaucoup peuvent encore être admirés aujourd’hui.
Barbara Basting22.04.2025Depuis des siècles, les chutes du Rhin sont un sujet prisé du milieu artistique. Au début du 19e siècle, le peintre anglais William Turner a immortalisé la force de l’eau de manière particulièrement impressionnante.
Michael van Orsouw13.03.2025À l’occasion de neuf séjours en Suisse, l’impératrice Élisabeth d’Autriche, plus connue sous le nom de Sissi, tomba sous le charme de l’art national dont elle acquit quelques œuvres. Cet engouement eut des conséquences inattendues jusqu’au Palais fédéral de Berne.
Barbara Basting18.02.2025Le peintre suisse Charles Gleyre (1806-1874) jouissait d’un prestige considérable au 19e siècle. C’est dans son atelier parisien que des peintres très différents comme Albert Anker et Auguste Renoir apprirent leur art. Gleyre lui-même se situe à la frontière entre le romantisme et l’impressionnisme.
Cristina Gutbrod28.01.2025En 1898, l’architecte Gustav Gull (1858-1942) dessina deux coupes qu’il réalisa en collaboration avec l’atelier d’orfèvrerie lucernois de Johann Karl Bossard (1846-1914). Le Musée national suisse, conçu et construit par Gustav Gull, fut inauguré la même année à Zurich. Les vastes réseaux autour de Gull et de Bossard convergent dans la conception du musée.
Katrin Brunner26.12.2024Toute sa vie, Emil Nolde fut fasciné par les Alpes suisses. Il immortalisa son amour pour les montagnes dans un grand nombre d’amusants dessins.
Barbara Basting01.10.2024Le coton était une matière première capitale au XIXe siècle. Pourtant, rares sont les artistes qui s’y intéressèrent. Edgar Degas était de ceux-là: son tableau Le bureau de coton à la Nouvelle-Orléans n’est pas ordinaire.
Kurt Messmer16.05.2024Méditer sur aléas de la chance appartient à notre humanité. La roue de la fortune tournait déjà dans l’Antiquité et aujourd’hui, sa popularité reste intacte. Vers 1220, la cathédrale de Bâle est ornée d’une rosace conçue comme une roue de la chance. Dans un monastère bavarois, les Carmina Burana rendent hommage à la déesse Fortuna. Mais le hasard est incompatible avec une conception chrétienne du monde, car la rédemption n’est accordée qu’aux âmes méritantes.