![En juin 1872, Rudolph Heer écrivit une dernière lettre à sa mère, avant de couper tout contact avec elle. Illustration de Marco Heer.](https://blog.nationalmuseum.ch/app/uploads/Titel-Rudolf-Heer-3-300x225.jpg)
Et maintenant adieu!
Les contacts entre Rudolf Heer à San Francisco et sa famille dans le canton de Glaris s’interrompirent en 1872, comme s’il avait voulu tirer un trait définitif sur son ancienne vie.
![Photographie après le séisme de 1868.](https://blog.nationalmuseum.ch/app/uploads/erdbeben-kalifornien-300x180.jpg)
![Illustration du séisme de San Francisco dans le Harper’s Weekly, novembre 1868.](https://blog.nationalmuseum.ch/app/uploads/erdbeben-1868-300x221.jpg)
![](https://blog.nationalmuseum.ch/app/uploads/Eintrag-1-300x135.jpg)
![](https://blog.nationalmuseum.ch/app/uploads/eintrag-2-300x171.jpg)
Grâce à plusieurs inscriptions dans le «Langley’s San Francisco Directory», un annuaire et registre de professionnels, Rudolph Heer put remettre sa vie professionnelle sur la bonne voie. Internet Archive
Lettres du Nouveau Monde
Rudolf Heer émigra de Glaris en Amérique au XIXe siècle. Entre 1868 et 1872, il envoya environ cinq lettres vers son pays d’origine. Elles se trouvent aujourd’hui avec d’autres documents dans les archives de la famille Heer. Cet article a été rédigé sur la base de ces lettres et des recherches de Fred Heer, un descendant de la famille Heer de Glaris.
![Rudolph Heer n’en revenait de voir les gens garder leur chapeau sur la tête lorsqu’ils rencontraient leur chef.](https://blog.nationalmuseum.ch/app/uploads/Zahltag-300x224.jpg)
![«Et maintenant adieu!» Les dernières lignes écrites par Rudolph à sa mère ressemblent fort à une rupture volontaire.](https://blog.nationalmuseum.ch/app/uploads/Letzter-Gruss-300x144.jpg)