Avec le nouveau confinement, qui touche également les musées, Hibou Pèlerin est en congé forcé. Il en profite pour lire de nouveaux ouvrages consacrés à l’histoire culturelle. Il a notamment dévoré une histoire mondiale du musée, récemment publiée par Krzysztof Pomian.
Prêt permanent du Musée national suisse, un vitrail datant de 1588 d’une exceptionnelle qualité artistique complète aujourd’hui les collections du musée d’Ittingen, dans la chartreuse du même nom.
Une mise en scène étudiée: lorsque les seigneurs de Hohenklingen, barons du Saint-Empire, se font représenter de la même taille que les rois mages devant l’étable de Bethléem.
La sculpture antique de Laocoon et de ses fils ne fait pas seulement figure de tournant dans la représentation artistique de l’homme ; elle a été le réceptacle de l’idéal masculin en perpétuelle mutation.
Le prince allemand Léopold III avait un faible pour les vitraux. Lors d’un voyage en Suisse, il s’offrit quelques précieux exemplaires. Il faut aujourd’hui se rendre à Wörlitz pour les admirer.