André Perler23.11.2023Sibirie, Afrika, Le Brésil ou encore Himalaia: ces toponymes ne semblent pas particulièrement suisses, mais ils sont bel et bien situés dans notre pays. La Suisse compte plusieurs centaines de ces lieux aux noms «exotiques».
Birgit Huber18.10.2023À l’époque du mouvement de la défense spirituelle, l’étude scientifique des traditions populaires, alors particulièrement en vogue, vit émerger l’idée d’une frontière culturelle scindant la Suisse en deux. Cette frontière, dont le tracé n’épousait pas celui de la frontière linguistique, devait prouver l’existence d’une identité nationale et la diversité culturelle du pays.
Alexander Rechsteiner27.09.2023Ils dominent le quotidien en Suisse alémanique, ils ont presque disparu en Suisse romande et ils ne sont plus utilisés que dans la sphère privée en Suisse italienne: ils, ce sont les dialectes. C’est dans l’Histoire qu’il faut chercher la raison de ces différences.
James Blake Wiener19.09.2023Il y a près de 400 ans, des savants commencèrent à s’intéresser à l’éducation des personnes sourdes et élaborèrent la première langue des signes. La Suisse joua un rôle intéressant, complexe, et peut-être même décisif dans ce domaine.
André Perler23.05.2023Depuis leur création il y a plusieurs siècles, les toponymes n’ont cessé d’évoluer: de simples descriptions du paysage ou du partage des terres, ils se sont transformés en abréviations issues du langage des jeunes, à l’instar de «Uitoduro», devenu «Winterthour» puis «Winti».
Peter Egloff21.03.2023Avec sa «Chrestomathie rhéto-romane», Caspar Decurtins (1855-1916), politicien et spécialiste culturel originaire des Grisons, a créé le plus important ouvrage de référence ancien sur la culture romanche de son canton. Un document qui fait figure de bagatelle dans l’immensité de son œuvre.
Benedikt Meyer20.01.2020En 1938, le peuple suisse adopte le romanche comme quatrième langue officielle. Le «oui» massif obtenu à l’issue de la votation traduit également un franc rejet du fascisme.